Souvent, nous focalisons sur le savoir faire et les compétences, dans la phase de recrutement mais également dans la vie professionnelle au quotidien. Nous regardons le contenu plutôt que le contenant, les compétences techniques plutôt que les « soft skills » (compétences douces), c’est à dire les compétences comportementales, les aptitudes humaines.

Et pourtant, les retards, conflits, désaccords, manipulations diverses ont comme origine des inaptitudes à être en relation, à accepter la critique, à se maitriser, à motiver les collaborateurs ou trices….Incapacité à se comprendre et comprendre l’autre.

Ces compétences humaines sont notamment la confiance en soi, la gestion des changements, l’adaptabilité, l’intelligence émotionnelle ou relationnelle, le sens de la collaboration, la communication…

Sans rentrer dans un travail thérapeutique avec les personnes, il est très facile, en entreprise, de donner des clés de communication, de motivation et de relations humaines, de « savoir être ». A la personne ensuite de poursuivre la réflexion et la recherche. Grandir appartient à chacun et chacun ne trouve pas nécessairement d’intérêt à réfléchir sur son comportement. Mais peut être que c’est cela qui fera la différence dans le monde de l’entreprise de demain.